Musique, films, coups de gueule...

Ce n'est pas le styliste qui attend notre journaliste, mais le photographe fou de musique. Il vient de publier un pavé de 400 pages sur la scène rock. Son pari: faire des rouleaux de scotch, des pédales d'effets ou des câbles électriques les vraies stars.

Hedi Slimane : "C’est l’accumulation qui donne du sens à ce type de photographie. J'ai commencé ce projet parce que j'habille beaucoup de gens dans la musique. J'avais donc moyen de me documenter de manière assez facile, sans problèmes d'accès. J'ai constitué des archives depuis quelques années."

Depuis 97, Slimane règne sur la mode masculine, de Saint Laurent puis de Dior. Mais son dada, c'est le rock qui inspire ses créations. “Stage” d'Hedi Slimane est le livre-concept idéal de la coffee-table culture. 2 kilos d'images sans texte, allégés en rock star, truffés des mille et uns détails qui font la légende des guitar-héros. Et quand il saisit les idoles, comme Bowie, les Libertines, ou les White Stripes, c'est de dos! Un décadrage qui ne date pas d'hier. Dans son premier livre, il était obsédé par les rideaux des chambres d'hôtel, et dans son second, il craquait pour les décors sans humain de Berlin. Une fascination pour le dépouillement qu'on retrouve dans son expo à Paris, où ses photos sont présentées dans de minuscules écrans vidéo.

Il a conçu des costumes pour Marilyn Manson, le chanteur de Franz Ferdinand, Brad Pitt, Tom Cruise et même Madonna et Nicole Kidman craquèrent pour ses costumes d'hommes...

Un grand artiste...

                

Des produits bien chers mais trop beaux... J'ai une blouse et je compte en avoir encore ;) lol

                                    

Après de courtes études, José Garcia intègre le cours Florent, suit une formation en classe libre auprès de Francis Huster, puis effectue un passage à l'école du cirque d'Annie Fratellini. Chauffeur de salle sur l'émission Nulle part ailleurs, il est aussitôt repéré par Antoine de Caunes qui reconnaît en lui un véritable talent comique. Durant sept ans, le fameux duo animera en prime time les soirées de Canal +, faisant les beaux jours de la chaîne.

A l'aise en toutes circonstances et doué d'une grande faculté d'adaptation, José Garcia est très vite rattrapé par le cinéma. Après un petit rôle de réparateur d'ascenseur dans Romuald et Juliette (1989), il explose véritablement à l'écran en incarnant le beau-parleur Serge Benamou dans La Vérité si je mens ! (1997) de Thomas Gilou, rôle qui lui vaut d'être cité au César du Meilleur Espoir Masculin. En 2000, il retrouve toujours avec autant de succès son personnage fétiche pour les besoins de La Vérite si je mens ! 2.

Dès lors, José Garcia enchaîne les tournages, fidèle à certains réalisateurs comme Bernie Bonvoisin (Les Grandes bouches (1999) et Blanche (2002)) et Philippe Harel (Extension du domaine de la lutte (1999) et Le Vélo de Ghislain Lambert (2001)). En 2000, il interprète un deuxième personnage marquant dans sa carrière de comédien : le jet-setter Da Silva dans Jet set (2000) de Fabien Onteniente. S'éloignant un temps de la comédie, il collabore avec son ancien complice Antoine de Caunes et la réalisatrice Claire Denis sur deux films plus noirs : Les Morsures de l'aube (2001) et Trouble every day (id.).

Après avoir incarné le méchant et risible Turk dans Le Boulet (2002) d'Alain Berberian, José Garcia devient un adepte des duos pour comédies légères : avec Patrick Timsit dans Quelqu'un de bien (id.), avec sa compagne à la ville Isabelle Doval dans Rire et châtiment (2003) et avec Daniel Auteuil dans Après vous... (id.). Aimant varier la nature de ses personnages, il n'hésite pas à camper le costaud mais non moins très efféminé John John, "roi des branchés" dans People Jet set 2 (2004) de son ami Onteniente

Un des meilleurs acteurs comique selon moi...

      

Un film de Gilles Marchand avec Sophie Quinton, Laurent Lucas, Catherine Jacob... Isabelle, jeune élève-infirmière, fait un stage dans le service de chirurgie où travaille sa cousine Véronique. La nuit, dans les couloirs du grand hôpital, elle croise le docteur Philipp. Prise de vertige, elle s'évanouit devant lui. Dans les jours qui suivent, alors que ses malaises se répètent, Isabelle est de plus en plus intriguée par ce chirurgien qui semble hanter l'hôpital, de jour comme de nuit, et qui s'intéresse de près à ses troubles. Elle est persuadée qu'il cache quelquechose. Bon et bien, c un "thriller" à ne voir qu'une fois, pcq c suffisant... comment dire, j'ai bien aimé l'ambiance de ce film, l'histoire est très bien recherchée quoique la fin est un peu faible... sauf son rêve de la fin, j'ai trouvé le dialogue excellent, au sinon des acteurs vrais, simples et bourrés de talent...

Auteur : Kaori Yuki
Présentation : Un manga, qui est fini au Japon, il doit avoir une vingtaine de tomes, je sais pas exactement. Des OAV qui viennent de sortir en français. Les dix premiers tomes du manga existent en français. (et le reste suit)
Genre : Fantastique (shojo)
Ce que j'en connais : Les neuf premiers tomes du manga
Presence des inspis mythologiques : ***
Mon avis : ***

Argument : Setsuna est un jeune voyou qui est amoureux de sa soeur Sara. Il apprend un jour qu'il est la réincarnation d'une ange, Alexiel, et que plusieurs groupes d'influence d'anges et de démons semblent très intéressés par lui. Il se passe encore plein de trucs après, mais je veux pas spoiler...
Mes personnages préférés : Kurai, Katan et Zahikel

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Rapports avec la mythologie :
L'auteur d'Angel Sanctuary a fait, avant d'écrire son manga, des recherches poussées en angéologie et théologie (il lui arrive de déformer un peu ceci dit, mais c'est fait exprès). La plus grande partie des noms de ses anges existent dans des textes juifs. Moi je connais moins bien, donc je me contenterai d'expliquer l'origine de quelques termes, sans prétendre être exhaustive.

Le principe d'Angel sanctuary : C'est un monde où il y a des anges répartis dans plusieurs cercles célestes, des démons répartis dans plusieurs cercles aussi, et des humains sur terre, plus quelques bonus comme les âmes des morts. Par contre, Dieu semble avoir disparu de la circulation. Il y a de grosses luttes internes chez les anges comme chez les démons. Ces luttes s'entrecroisent, en même temps qu'elles atteignent leur paroxysme, quand Alexiel, l'ange rebelle, qui avait été vaincue par les autres anges, se réincarne en un jeune humain, Setsuna.
Je n'ai pas encore tout compris à la hiérarchie angélique comme à la hiérarchie céleste, mais il semble que juste après Dieu (qui n'est pas là, donc) le personnage le plus puissant soit Adam Kadamon, l'androgyne mythique de Kabbale. Ensuite ce sont Alexiel et Roshiel - deux anges très importants dans le scénario, et totalement inventés pour l'occasion par Kaori Yuki, je crois - en ensuite Metatron, le chef des Seraphins. Puis toute la hiérarchie des chérubins, trônes, etc... avec pour chacun un supérieur. Je ramènerai la liste un de ces jours, elle est dans un des tomes que je n'ai pas sur moi.
Pareil pour les enfers, le chef c'est Lucifer, et il est accompagné d'une grande cour de démons. Je n'ai pas très bien compris la situation des démons-dragons, ceux de la famille de Kurai. Il semble qu'ils soient éloignés de Lucifer parce que contrairement aux autres, ce ne sont pas des anges déchus, mais des créatures plus liées à la nature. Mais ils sont puissants tout de même.

Il est à noter que l'auteur fait parfois quelques clins d'oeil à d'autres croyances, en particulier à la mythologie nordique. En particulier pour Yggdrasil, l'arbre primordial, et le serpent Nidhogg qui vit dessous : tout ça c'est de la mythologie nordique.

D'après des textes mystiques juifs :
"Au plus bas, donc, l'univers de la fabrication (assiya), le monde physique où nous vivons, correspond aux roues du char de Dieu. Au-dessus, la formation (yetsira) est le monde des anges, qui étabit le lien entre Dieu et notre monde; il correspond aux vivants à quatre faces (qui portent le trône de Dieu). Au dessus encore : l'univers de la création (beriya), situé "au-dessus de la voute surmontant la tête des anges", là où se trouve le trône. Dieu s'y assoit, c'est-à-dire qu'Il s'abaisse de Lui-même vers nous. Et enfin, tout en haut, le plus élevé des univers, celui de la Gloire de Dieu (atsilout) qu'incarne l'homme siégeant sur le trône."

Pour l'Etemenanki, c'était "le temple de la création du Ciel et de la Terre", un temple de Marduk qui se trouvait à Babylone, et que d'aucuns soupçonnent de n'être autre que la fameuse Tour de Babel.

Ma soeur a les livres et les dvd et je dois dire que c vraiment génial, lugubre, assez désespérant mais bon...  ce que j'aime dans les mangas japonais c qu'on ne manque pas de donner une part de féminité, un côté androgyne aux hommes, anges ou autres créatures fantastiques...

                                

  

Un film de Hayao Miyazaki Au seuil de l'adolescence, Chihiro est une enfant gatée et revêche. Séparée de ses parents par un mauvais sort, la jeune fille se retrouve livrée à elle même dans un monde onirique où se cotoient divinités, sorcières et autres créatures plus ou moins invraissemblables. Pour survivre mais aussi pour conserver son identité, Chihiro devra aprendre à faire face à ses responsabilités et trouver le chemin de la maturité...

Véritable marathonien du celluloïd, chef d'orchestre intransigeant, Hayao Miyazaki avait laissé entendre qu'il donnerait un terme à sa carrière après Princesse Mononoke, il était sorti en effet épuisé par la gestation du dessin animé. La passion fut plus forte que la raison.

                   

L'été de Kikujiro

Kitano change de registre en réalisant un film différent qui surprendra tout le monde y compris ses fans

Tokyo en été. L'école est finie et le jeune Masao se retrouve tout seul. Sa grand-mère travaille toute la journée, ses copains sont partis en vacances et le terrain de foot où il a pris l'habitude de jouer est définitivement désert. Un matin, en fouillant dans les affaires de grand-mère, il découvre une photo de sa maman et une adresse. Résolu, il décide de prendre la route à la recherche de sa mère qui l'a laissé sans nouvelles depuis bien longtemps. Sur la route, il rencontre grâce à une amie de sa grand-mère, Kikujiro, un homme d'une cinquantaine d'années, fort grossier, fourbe et joueur. L'aventure commence dans le vélodrome de Tokyo, où Kikujiro dilapide tout le pécule du voyage en pariant sur des courses de vélo. Quand enfin, il décide de se mettre en route pour retrouver la maman du petit, il n'a plus assez en poche. Un voyage qui risque de n'être pas de tout repos, mais qui au moins aura l'avantage d'être loin d'ennuyeux...

C touchant, comique, grave, surprenant, sincère, c tout l'art du cinéma japonais...

                    

Né le 18 Janvier 1947 à Tokyo, Japon.

Sûrement l'un des plus grands réalisateurs japonais actuel, rarement réalisateur de coproduction Americano-Japonaise, (on lui trouvera un rôle dans Johnny Mnemonic et une production, Aniki mon frère), Takeshi Kitano est un réalisateur très Japonais et très proche de la culture de ce pays.
Souvent comparé à Harvey Keitel, il agit dans le sens du cinéma, en produisant des films pour des réalisateurs naissants qui travaillaient pour lui en tant qu'assistant réalisateur.
Takeshi Kitano est aujourd'hui considéré comme le nouvel empereur du cinéma japonais. Avec sa carrure, sa gueule de dur et son tempérament violent dans ses films, Takeshi Kitano est surnommé "Beat Takeshi" (son nom d'acteur et de scène à l'époque de son duo "the two beats" voir plus bas). C'est en fait un comique reconnu, à l'humour décalé et légèrement absurde.

En effet, Takeshi Kitano n'a pas toujours eu l'image qu'il aura au travers des films comme Violent Cop ou Sonatine. C'est un comique à la base et c'est par la petite porte des bars de nuit que Takeshi Kitano se fera remarquer avec son ami Kiyoshi Kaneko avec qui il créa un "Manzai", un duo comique du nom de "The Two Beats".

Remarqué par un producteur dans les années 70, le show deviendra une production TV qui sera récompensé à la NHK. C'est Nagisa Oshima, le réalisateur de FURYO qui verra en Kitano un personnage différent, capable de faire rire et capable des pires violences. Le public réalise alors que le comique Kitano est aussi un excellent acteur. (Dans Furyo il joue un soldat au caractère sombre et violent.)
Kitano enchaîne les séries TV et continue sa carrière de comique. C'est en 1989 avec Violent Cop que Kitano prend la place de Kinji Fukasaku qui se désiste et réalise là son premier film, un film d'une violence rare et inattendue de la part du comique.
Ensuite il enchaîne les productions avec "Boling Point" puis "A scene at the sea" en 1991, ce sera sa première collaboration Joe Hisachi (Compositeur des BO de Kitano).
en 1993, vient Sonatine, un polar Yakuza, un des meilleurs films de Kitano avec Hana-Bi.
Ensuite, vient Kids Return qu'il réalisa à son retour de convalescence (En 1994, Kitano a eu un grave accident de moto, ce qui aujourd'hui lui fait apprécier la vie différemment) puis Hana-Bi en 1997.

Après une apparition remarquée dans Battle Royale réalisé par Kinji Fukasaku (décédé le 12 janvier 2003), il revient à la réalisation en 2002 avec le magnifique film DOLLS et enfin ZATOICHI en 2003, un film commandé par une production à Takeshi Kitano qui est une fois de plus une réussite.
Nous vous invitions vivement à découvrir la vraie double personnalité de ce personnage à la fois réalisateur, producteur, acteur, mais aussi, peintre, poète, auteur de bandes dessinées et de romans. Takeshi Kitano est devenu une idole, une icône dans le monde entier, un maître du cinéma. Que ce soit en tant que réalisateur et/ou acteur, Kitano est un personnage rare, un incontournable du cinéma japonais.

Je l'ai remarqué dans Furyo... mais ça ne m'a pas fait tilt en fait c qd j'ai vu l'été de Kikujiro que j'ai su voir que ct les deux mêmes personnes lol
et bien c un très bon acteur et un très bon réalisateur, qui prend le temps dans ces films et qui peut rester 20min sur un même plan sans que le film ne devienne ennuyeux... chapeau...

         

Un film de Tim Burton avec Helena Bonham-Carter, Ewan Mcgregor, Albert Finney...

Will a tjs entendu Edward, son père, raconter des histoires.  son enfance a été bercée par les incroyables récits épique de celui qui, en contant les fabuleux épisodes de sa propre destinée, a tjs fasciné et enchanté ceux qu'il rencontrait.  aujourd'hui Will n'en peut plus.  il voudrait enfin connaître l'homme qui se cache derrère ces fables.  alors qu'Edward n'a plus que quelques jours à vivre, Will entame son propre voyage à la recherche de son père.  dans une tentative désespérée pour cerner celui qu'il aime malgré tout, il va s'efforcer de délier le vrai du faux et de découvrir bcp plus qu'il ne l'aurait imaginé...

Ca faisait bien longtemps que je n'av pas pleuré comme un bb pour un film lol, la dernière fois ça remonte à Black Beauty lol, c loin ;)...
enfin c du Tim Burton tout craché... c magique, magnifique... ça nous emmène dans des contrées qu'on voudrait visiter, y rester et ne plus en revenir... et ça fait vraiment réfléchir...

                   

Née le 26 mai 1996 en Angleterre, elle est découverte dans Lady Jane alors qu'elle est encore étudiante. 
actrice complète, elle travaille autant à la télévision, qu'au théâtre et qu'au cinéma...

3 films que j'ai aimé avec elle, Fight Club, La planète des singes et Big Fish
une actrice au physique et au jeu atypique, ce qui lui fait son charme...

                             

Un film de Tony Kaye avec Edward Norton, Edward Furlong et Elliott Gould...

L'histoire: A travers l'histoire d'une famille américaine, ce film tente d'expliquer l'origine du racisme et de l'extrémisme aux USA.  Il raconte l'histoire de Derek qui voulant venger la mort de son père, a épousé les thèses racistes d'un groupuscule de militants d'extrême droite et s'est mis au service de son leader, brutal théoricien prônant la suprématie de la race blanche.  ces théories le mèneront à commettre un double meurtre entraiant son jeune frère, Danny, dans la spirale de la haine et Derek sur le chemin de la vérité...

Ce film nous fait pénétrer  dans le coeur même de la haine raciale...  alors ça me fait bien rigoler les handicapés de "néo-nazis" qui vénère tonton Hitlert (ne sachent même pas qd il a existé pour la plupart) et qui me dise que ce film est leur préféré, bien-entendu, ils n'ont rien capté à la vraie signification de cette oeuvre... mais bon on ne peut pas leur en vouloir, qd on est con...

                                                           

Né le 18 août 1969 à Boston, Massachussetts.
Diplômé en histoire à l'université de Yale, Edward Norton est féru d'art dramatique depuis son plus jeune âge.  arpès ses études, il travaille au Japon, d'où il revient bilingue.  installé à NY, il monte sur les planches, avec la troupe des Signature Players, groupe théâtral connu pour avoir monté les pièces du dramaturge Edward Albee.

Filmographie:
-   Peur primale
-   Tout le monde dit I love you
-   American History X
-   Joueurs
-   Fight club
-   Au nom d'Anna
-   Death to Smoochy
-   Red Dragon
-   La 25e heure
-   Braquage à l'italienne
-   L'or se barre

Je suis tombée amoureuse de lui dans American History X, bien qu'ayant vu bcp de ses films...  ben ce fut le coup de foudre immédiat, j'av déjà prévu le mariage, mais il le savait pas alors il n'est pas venu, je ne lui en veux pas, il a tellement de travail...  enfin arrêtons les bêtises, c un superbe acteur, très intelligent, qui joue parfaitement bien et qui sait endosser tous les rôles du romantique au mafieux en passant par le paumé ou le néo-nazi, bref un acteur complet... ;)

                                 

Un film de David Fincher avec Edward Norton, Brad Pitt, Helena Bonham-Carter, Jared Leto...

L'histoire: Jack ne souhaite qu'une chose: s'évader de son quotidien monotone.  très vite, il recontre Tyler Durden, un  vendeur de savon charismatique à la philosophie tordue et anarchiste.  ensemble, ils décident de créér un club de combat clandestin dont les règles s'établissent partout dans le monde...

Je pense que tout le monde l'a vu hein? lol, fascinant l'anarchisme poussé à l'extrême... j'ai bien aimé cette notion de dédoublement de personnalité, je ne m'y attendais pas en plus, si tu regardes le film par après encore une fois, tu vois vraiment qu'on les voit jms à deux dans la même pièce... bien penser!
 rien à dire de ce film, si ce n'est que c époustouflant...

                  

Un film de Jocelyn Moorhouse avec Winona Ryder, Anne Bancroft, Ellen Burstyn et Jared Leto...

L'hisoitre: Finn, sur le point d'épouser Sam, va passer quelques jours chez sa grand-mère.  entourée d'amies, Finn va recevoir une leçon de vie, avec les aventures à tenter et les pièges à éviter...

MAGNIFIQUE!!!
La vie de plusieurs femmes à des époques différentes descendant toutes de la même famille et dont leur histoire est contée sur un petit bout du Patchwork de Finn...

                   

Jared Leto étudie la peinture à l'université des arts de Philadelphie et le cinéma au Visual Arts de NY.  il s'installe à LA en 1992 et décroche en 1994 son premier rôle dans la série télévisée Angela, 15ans, interprétée par Claire Danes.  il débute au cinéma en 1995 dans le Patchwork de la vie, un drame de Jocelyn Moorhouse avec Ellen Burstyn.  5 ans plus tard, il collaborera à nouveau avec l'actrice américaine dans le traumatisant Requiem for a dream de Darren Aronosky.

Filmographie:
-   The last of the high kings (1996) de David Keating
-   Préfontaine (1997) de Steve James
-   Urben legend (1998) de Jamie Blanks.
-   La ligne rouge (1998) de Terrence Malick
-   Fight club et Panic Room en 1999 et en 2000 de David Fincher
-   Une vie volée (2000) de James Mangold
-   American Psycho (2000) de Christian Bale
-   Alexandre (2004) de Oliver Stone (bcp meilleur que ce banal Collin Farel dont je ne sais même pas épeler le nom...)

J'ai vu bcp de ses films, mais je l'ai vraiment découvert dans Requiem for a dream et dans Panic Room où il n'a pas manqué de s'enlaidir pour jouer le rôle d'un malfrat... de plus dans le Patchwork de la vie on a envie d'être à la place de la fille... c pas pour dire mais... quelle tête d'ange...

                
 

Un film de Darren Aronofsky d'après le roman de Requiem for a dream avec Ellen Burstyn, Jennifer Connelly, Jared Leto et Marlon Wayans...

L'histoire: Sara Goldfarb vit seule à Coney Island.  mère juive veuve et fantasque, elle vit dans l'espoir obsessionnel d'être un jour invitée sur le plateau de son émisson de TV préférée.  c dans cette perspective qu'elle suit un régime draconien afin d'entrer dans la robe qu'elle portera, lorsque le grand soir sera venu.  son fils Harry est en proie à la dépendance à la drogue.  avec sa petite amie Marion et son copain Tyrone, ils noient leur quotidien dans d'infantiles visions du paradis terrestre.  en quête d'une vie meilleure, le quatuor est entraîné dans une spirale infernale qui les enfonce, tjs un peu plus, dans l'angoisse et la dégradation...

De loin le plus beau film sur la drogue qu'il m'ait été donné de voir... le plus poignant et le plus dissuasif... (parmi les trois que je vs ai proposé)

Musique magnifique et mélancolique à souhait.

                                                 

Un film de Danny Boyle avec Ewan McGregor et Robert  Carlyle...

L'histoire: Edimbourg, dans les années 80, Mark Renton appartient à une bande de copains héroïnomanes et délinquants.  ceux-ci entretiennet une amitié fragile, sur le chemin de la déchéance, que seul Mark souhaite arrêter en décidant de décrocher...

Bon, il y a aussi le livre que je conseille... mais si vs n'aimez pas lire, le film est un chef d'oeuvre... je pense que la plupart des gens l'ont vu, et sont unanimes...
10/10 pour des acteurs vrais et pour le milieu "imagé" des drogués qui est en fait uen vraie réalité...
Film qui fait réfléchir...

                        

Un film de Justin Kerrigan avec Jogn Simm, Lorraine Pilkington, Shaun Parkes...

Justin Kerrigan vise juste et touche en plein coeur en racontant le week-end déjanté de quelques ravers filles et garçons, il dessine le portrait fidèle des clubbers.  comme Jips, Nina, Koop et les autres... comme ils absorbent des substances psychotropes illicites et que le ton mélange humour et cynisme, certains vont tout de suite penser à Transpotting...

ATTENTION: j'adore ce film, la vie des clubbers c vraiment ça, c exagérément ça, c les pilules, l'excta, coc, joins, descente, montée, en plus les acteurs ils sont trop dans leur trip, on dirait qu'ils ont pris des vrais substances pour tourner le film... ils jouent hyper bien, mais ça c typique des films anglais, de bons acteurs... et en plus on a pas pris des poupées pour les filles ni des canons pour les mecs... c la vie telle qu'elle est...
mais je vous le dis, ce film ne donne pas envie d'arrêter ou de ne pas prendre de la drogue, c un reproche d'ailleurs... ce film inciterait même... alors soyez prudents...
sinon chapeau pcq encore une fois C VRAIMENT CA!!!!!

BO d'enfer!!!!!

                                                                     

Un livre de Yasunari Kawabata...

Eguchi est un homme de 65ans.  conseillé par un ami, il se rend dans une mystérieuse auberge fréquentée par des viellards en mal de plaisir où l'on peut dormir avec de jeunes filles sous narcotique que rien ne peut réveiller...

Selon moi un très beau livre... on peut ressentir vraiment  les besoins, les sentiments des gens... c splendide, original et agréable à lire, non vs n'aurez pas du André Breton ds ce livre, pas d'inquiétude à avoir... ouf lol